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L'AFACCC 81 FÊTE SES 30 ANS !

Dans le cadre de l’assemblée départementale et nationale la fête du chien et de la ruralité a regroupé plus de 5 000 personnes sur le magnifique site ombragé du lycée agricole de FONLABOUR
fleuron de notre région Occitanie.
Plus de 800 chiens ont été exposés représentant l’ensemble des chiens du groupe 6.
Les stands accessoires chasse et aliments chiens étaient de la partie.
Un marché de producteurs tarnais très apprécié ainsi que le food-truck des jeunes agriculteurs ont régalé les papilles des visiteurs sans oublier les repas pris en salle mijotés par un traiteur réputé. En parallèle la visite organisée de la cité épiscopale d’ALBI inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO a connu un grand succès.
Trompes de chasse, bandas, le soleil au rendez- vous, la fête a été parfaite. Chasseurs et simples visiteurs ont apprécié ce rendez-vous mettant en avant cette ruralité ou le
monde la chasse côtoie le monde agricole.

Le président de la chambre d’agriculture, le président de la fédération départementale des chasseurs
tarnais, mais aussi les élus, le député, le président du conseil départemental, la maire d’ALBI, le vice-
président du conseil régional ont honorés de leur présence cette manifestation montant leur intérêt
pour les valeurs que nous défendons.

Christian Patrice

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Les colliers de dressage interdits en France : C'est FAUX !

Le 18 janvier, 2023.

Depuis ce matin, à en croire l’ensemble des titres accrocheurs de nombreux médias,
l’utilisation de collier d’éducation serait désormais interdite en France. En effet, lundi 16
janvier, une majorité des députés ont voté en faveur de la proposition de loi émanant de la
majorité présidentielle. Cette dernière vise à interdire « l’utilisation sur les chiens et les chats
de tout dispositif à décharge électrique, étrangleur sans boucle d’arrêt ou dont les pointes
sont tournées vers le corps de l’animal ».

Halte au feu, votée ne veut pas dire adoptée!

Qui est la députée Corinne Vignon à l’origine de ce texte ?

Cette proposition de loi a été portée par la députée de Haute-Garonne Corinne Vignon en lien avec la fondation Bardot. Son parcours est marqué par un fort engagement qu’il soit politique ou associatif envers la défense des animaux. « Je me suis engagée pour la cause animale bien avant d’être élue de la République », rappelle-t-elle sur Twitter. Élue depuis 2017, Corinne Vignon s’est illustrée par de nombreuses actions. Elle a proposé de mettre fin à la présence d’animaux sauvages dans les cirques, interpellé le gouvernement pour interdire les tests de médicaments sur les animaux, ou encore l’interdiction de transporter des animaux vivants en période de forte chaleur. Mais Corinne Vignon a également attaqué la chasse à de nombreuses reprises. La parlementaire a milité pour interdire le déterrage des blaireaux et des renards, la chasse à la glu etc. Des pratiques qu’elle juge d’une « violence indéfendable ». On peut également noter son soutien envers le « référendum pour les animaux », initiative lancée par Hugo Clément, qui proposait entre autres l’abolition de la chasse à courre. En 2020, Mme Vignon avait interpellé le ministre de l’agriculture sur un décret prévoyant de simplifier la possibilité de commencer la chasse au 1er juin, « au détriment de la préservation de la période de reproduction et de la tranquillité des promeneurs », avait-elle déclaré.
Être engagée pour la cause animale peut être positif sauf si cet engagement prend le pas sur la politique, ce qui semble être vraisemblablement le cas de Madame Vignon et de ses accointances avec la fondation Bardot ou des personnes engagées comme Hugo Clément. La loi n’est pas encore votée Adopté avec une large majorité des voix, 111 voix contre 5, ce texte doit désormais être transmis au Sénat. Il ne s’agit que de la première étape d’un processus législatif long et complexe, qui passerait notamment par le Sénat où la tendance est bien différente.
Quand le texte sera entre les mains des sénateurs, il devrait être remanié dans le sens du pragmatisme, s’adaptant à des réalités économiques, et dénué de la portée idéologique qu’il a
aujourd’hui. La fondation Bardot derrière cette proposition La Fondation Brigitte Bardot s’est évidemment réjouie que ce texte participe à « mettre un terme à la maltraitance banalisée par l’éducation violente des animaux, dont les séquelles physiques et les conséquences traumatiques augmentent le risque de dangerosité et mènent à de nombreux cas d’abandons et d’euthanasies ». La députée Vignon, rapporteuse du texte a indiqué que les colliers à décharges électriques pouvaient entraîner des conséquences physiologiques importantes avec des comportements de stress, de terreur, d’anticipation de la douleur qui modifient considérablement le comportement du chien sans parler des lésions importantes comme les brûlures et les pertes de poils. Des dresseurs professionnels ont-ils été sollicités pour répondre à ces injonctions ? Tous comme les fabricants de colliers de dressage ? Que des chiens puissent être maltraités en France, c’est une réalité. Que des chiens soient abandonnés par des maîtres peu scrupuleux également. Pensez-vous un seul instant que des dresseurs et des chasseurs auraient un intérêt à maltraiter leurs chiens à la chasse? Un chien maltraité peut-il être heureux, performant et en bonne santé ? Le rapport des chasseurs à leur chien est totalement unique. Le chien est bien plus qu’un animal de compagnie, c’est pour beaucoup « le petit dernier » de la famille. Lors de la dernière étude menée par la FNC sur le profil type du chasseur et sa motivation à aller à la chasse, le fait de chasser pour son chien était l’une des principales raisons retenues. Pour rappel, il y a quelques semaines, Aymeric Caron, les médias et l’ensemble des associations de protection des animaux étaient persuadés que la corrida serait interdite en France. Cet épisode avait permis aux professionnels de la tauromachie d’expliquer leur art. Au final, c’est la raison et la passion qui avaient triomphé ! Aux passionnés d’expliquer à nos politiques en quoi le collier de dressage est utile et ne
compromet en rien les capacités physiques et morales de leur fidèle compagnon !

Par Kevin Tanguy

Un coup bas de plus, vu par personne dans le monde de la chasse.

Une proposition de loi visant à interdire la maltraitance sur les animaux de compagnie par l'utilisation de colliers étrangleurs et électriques à été déposée à l'Assemblée Nationale, le 29 novembre 2022 par Corinne VIGNON, Aurore BERGE et des membres du groupe Renaissance et apparentés.

Elle à été adoptée par l'Assemblée Nationale, en première lecture, en commission le 10 janvier et en séance publique le 16 janvier avec des modifications.

La proposition de loi ajoute un article L 214-8-3 au code rural et de la pêche maritime.

Elle porte sur l'interdiction de l'utilisation sur les chiens et les chats de tout dispositif à décharge électrique, étrangleur sans boucle d'arrêt ou dont les pointes sont tournées vers le corps de l'animal. Tout contrevenant s'expose à une amende de 750 €, qui peut atteindre les 3 750 € en cas de récidive ou pour les professionnels du dressage. Par ailleurs, il est également prévu l'interdiction de la vente, cession gratuite et la publicité des colliers de dressage. Celle-ci, sera punie d'une amende de 3 000 € pour un particulier contrevenant et de 15 000 € pour une personne morale.

Une dérogation est accordée pour les services de l'armée utilisant des chiens et ceux intervenant lors de capture d'animaux dangereux et/ou errants.

Le texte va être transmis au Sénat (La date n'est pas encore communiquée)

LA MALADIE D'AUJESZKY

Un danger mortel pour nos chiens de chasse

Maladie d'aujeszky : de nouveaux cas dans plusieurs départements.

Ces dernières semaines plusieurs cas de maladie d'aujeszky ont été détectés dans différents départements, le dernier en date la Dordogne. L’occasion de rappeler la plus grande prudence aux propriétaires de chiens de chasse. La maladie d'aujeszky, aussi appelée (pseudo rage) en raison des symptômes similaires à ceux de la rage, est une maladie provoquant en seulement quelques jour la mort du chien de chasse contaminé.

Le chien de chasse quant à lui se fait contaminer suite à un contact sanguin avec un animal infecté
ou par l'ingestion d’abats de porc ou de sanglier infectés par le virus.
Si vous alimentez vos chiens avec de la viande de porc ou de sanglier, vous pouvez éviter la
contamination en cuisant suffisamment à cœur la viande, car la chaleur détruit le virus responsable de la
maladie d'aujeszky.

Dans tous les cas constatés en France, les chiens contaminés avaient tous participé à une chasse aux
sangliers ou reçu une alimentation à base de sanglier les jours précèdent leur infection.
Outre la contamination par l'alimentation, il se peut aussi que certains chiens aient été contaminés par
voie cutanée liée par la présence d'une plaie. C'est notamment le cas lors de batailles entre chiens et
sangliers ou lorsque les chiens morde le sanglier mort.

La période d'incubation est très rapide, de l'ordre de 2 à 6 jours après la contamination. La maladie
s'attaque presque uniquement au système nerveux.

Les symptômes sont assez reconnaissables :

• Un abattement ou une perte d'appétit.

• Une modification du comportement du chien avec de l'inquiétude ou de l'agressivité. C'est d'ailleurs pour
cela que la maladie d'aujeszky est aussi nommée (pseudo rage).

• Des démangeaisons intenses surtout au niveau du museau, des babines et de la gueule, provoquant de
graves plaies et pouvant aller jusqu'à l'automutilation.

• Des signes d'une encéphalomyélite infectieuse peuvent apparaître et provoquer des troubles du
comportement, comme des difficultés respiratoires, une paralysie du larynx qui entraîne une salivation
excessive et une paralysie des pattes arrière.

Dans les zones ou la maladie est détectée, des mesures de précautions s'imposent pour les chiens de
chasseurs de sanglier, cela passe principalement par de la prévention pour avertir des dangers que
provoque une contamination d'un chien de chasse par la maladie d'aujeszky. Bien qu’empêcher les batailles entre chiens et sangliers restent difficiles, voir impossibles, il est
recommandé aux chasseurs de minimiser le contact des chiens avec les dépouilles de sangliers ainsi que
de leurs viscères. En cas de blessure, pensez bien à les nettoyer et à les désinfecter.
Il est aussi préférable d'agir sur l'alimentation en bannissant ou en distribuant cuit la viande et les abats de
sanglier. De plus, vous pouvez renforcer les précautions en nettoyant et en désinfectant le matériel
utilisé lors de votre chasse aux sangliers.

Un vaccin en Belgique :

Suite à des informations prises auprès des conducteurs de chiens de rouge qui participaient aux
campagnes de vaccination réalisées dans leur pays et l’École vétérinaire de Belgique, il s'est avéré que le
vaccin utilisé en Belgique, fonctionnait sur nos compagnons à quatre pattes belge. Quelques réactions
secondaires sur quatre chiens ont été observées après la seconde injection : gonflements œdèmes au point
de la vaccination et un œdème avec épanchement. Comme avec tout vaccin, il peut y avoir certains effets
secondaires, ceux qui ont été observés consistent en des réactions locales au point d'injection.
Cependant le vaccin reste indisponible sur le territoire Français.
Aujourd’hui vu l'ampleur de cette maladie les chasseurs Français réclament un vaccin.

La FACCC investis dans cette maladie.
BENAZET Alain Président FACCC Région 6.

Mardi 18 Octobre 2022 à FOIX(09) 10h00

GRAND RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN

Mardi 18 Octobre 2022, 6 élus dont notre Président de la Fédération des chasseurs de l’Ariège Jean Luc FERNANDEZ qui se battent tous les jours pour la défense de la ruralité seront conduits au TRIBUNAL pour avoir manifesté contre les extrémistes écologistes.

Nous appelons à un grand rassemblement de soutien sur les Allées de Villotte à FOIX (09). On vous espère très nombreux pour venir défendre notre chasse, notre culture, nos traditions.

A cette occasion Willy SCHRAEN Président de la Fédération Nationale des Chasseurssera présent, Christiane LAMBERTPrésidente Nationale de la FNSEA, les élus, ainsi que tous les responsables des diverses associations du monde Rural(éleveurs,agriculteurs,sylviculteurs,gardes,piegeurs,pêcheurs,etc…).

Au Programme

10h00-13h00 : Rassemblement sur les Allées de Villotte à FOIX (09) et prise de parole des élus.

13h00-14h00 : Restauration, grillades sur place et buvette.

14h00 : Entrée de nos 6 DELINQUANTS CRIMINELS de la ruralité au TRIBUNAL.

La justice frappe durement les 6 ruraux jugés à Foix pour s’être opposés aux pro-ours.

Le verdict est tombé : Les six ruraux qui avaient été jugés le 18 octobre dernier par le tribunal correctionnel de Foix pour avoir perturbé une réunion d’écologistes et de pro-ours en mai 2018 à La-Bastide-de-Sérou (Ariège) ont été condamnés hier à une peine de 3 mois de prison avec sursis et 500 euros d’amende, une sanction qui va au-delà des réquisitions du procureur de la république qui ne réclamait que deux mois avec sursis et 500 euros d’amende. Les juges n’ont donc pas été sensibles à la manifestation de soutien qui a vu se réunir plusieurs milliers de personnes le jour de l’audience.

Clémence Biard, présidente des Jeunes Agriculteurs de l’Ariège, Rémi Toulis, président actuel de la FDSEA 09, Cédric Munoz, son prédécesseur, Jean-Luc Fernandez, président de la fédération départementale des chasseurs (FDC 09), Jean-Pierre Mirouze, président de l’ASPAP (Association de Sauvegarde du Patrimoine d’Ariège-Pyrénées) et Philippe Lacube, président de la Chambre d’agriculture de l’Ariège ont donc été condamnés pour avoir participé le 5 mai 2018 à un rassemblement de ruraux qui s ‘étaient opposés à la tenue d’une réunion de diverses associations d’écolos et de pro-ours qui s’était déroulée dans le foyer municipal de la commune de La-Bastide-de-Sérou.

En plus des condamnations de ces acteurs de la ruralité, l’association ASPAP, la FDSEA, les Jeunes agriculteurs (JA) et la fédération départementale des chasseurs ont également été condamnées à 2.000 euros d’amende chacune. De plus, les six associations écologistes qui s’étaient constituées en parties civiles se sont vues accorder 5.000 euros chacune de dommages et intérêts et 1.000 euros de frais d’avocats. « Je suis abasourdi par la sévérité du jugement. On voulait, ce jour-là, montrer notre mécontentement, et c’était organisé avec les forces de l’ordre. Il n’y a eu aucun souci. » a déclaré Remi Toulis le président de la FDSEA.

Une fois de plus, la justice a choisi son camp, celui des extrémistes de l’écologie, et condamne durement nos camarades qui n’ont fait que réagir à la provocation de ces associations qui veulent encourager l’expansion de l’ours dans les Pyrénées au détriment des éleveurs et des ruraux en général. Comme l’a aussi déclaré Remi Toulis: « Franchement, avec ce qu’on voit aujourd’hui à la TV… La justice ariégeoise vient donner un coup d’arrêt et nous prive de notre liberté de parole ». Les condamnés ont tous décidé de faire appel de ce jugement.

Par Frédéric Buszkowski